Avec le recul, Pierre (*) en est aujourd’hui certain, il aurait pu y rester. « J’étais dans une mort sociale, une mort psychologique et j’ai commencé à entrevoir la vraie mort, la mort physique.» La spirale de l’alcool, l’isolement progressif, le déni, la maladie, ce Romorantinais depuis une quinzaine d’années, en parle avec lucidité. Les mots […]